Dans un communiqué à la fin du Sommet du G8, tenu à Deauville les 26 et 27 mai 2011, intitulé : «Déclaration conjointe G8/Afrique : des valeurs communes et des responsabilités partagées», les pays du G8 se sont engagés à donner « la priorité à l'Afrique dans le cadre du financement des projets d'infrastructures ».
« Compte tenu du défi particulier que doit relever le continent, nous appelons la communauté internationale, et notamment à travers les banques multilatérales de développement, à agir de manière concertée en donnant la priorité à l'Afrique dans le cadre du financement des projets d'infrastructures », ont-ils déclaré.
Dans leur déclaration, ils ont salué plusieurs des initiatives que la Banque africaine de développement gère ou dont elle est partie prenante telles que le Plan d’action Union africaine-NEPAD ou le Programme pour le développement de l’infrastructure en Afrique (PIDA).
Les leaders du G8 ont considéré l’énergie comme un élément clé pour garantir le développement économique en Afrique. « L'accès limité à l'énergie, que ce soit l'électricité ou les combustibles utilisés pour la cuisson, reste très préoccupant, a déploré le G8. Il s'agit d'un obstacle majeur au développement économique et à la lutte contre la pauvreté. Par ailleurs, l'utilisation courante de combustibles de cuisson traditionnels a un impact sanitaire et environnemental très négatif. » Les leaders du G8 ont ainsi rappelé « la nécessité d'assurer un accès à des services énergétiques durables, en mettant tout particulièrement l'accent sur les énergies renouvelables. Le G8 continuera à soutenir des projets d'accès à l'énergie, centralisés et décentralisés, en particulier les projets ayant une dimension régionale et axés sur le développement durable, ainsi que les initiatives en matière de commerce transfrontalier et de renforcement des capacités dans le domaine de l'énergie. »
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« Compte tenu du défi particulier que doit relever le continent, nous appelons la communauté internationale, et notamment à travers les banques multilatérales de développement, à agir de manière concertée en donnant la priorité à l'Afrique dans le cadre du financement des projets d'infrastructures », ont-ils déclaré.
Dans leur déclaration, ils ont salué plusieurs des initiatives que la Banque africaine de développement gère ou dont elle est partie prenante telles que le Plan d’action Union africaine-NEPAD ou le Programme pour le développement de l’infrastructure en Afrique (PIDA).
Les leaders du G8 ont considéré l’énergie comme un élément clé pour garantir le développement économique en Afrique. « L'accès limité à l'énergie, que ce soit l'électricité ou les combustibles utilisés pour la cuisson, reste très préoccupant, a déploré le G8. Il s'agit d'un obstacle majeur au développement économique et à la lutte contre la pauvreté. Par ailleurs, l'utilisation courante de combustibles de cuisson traditionnels a un impact sanitaire et environnemental très négatif. » Les leaders du G8 ont ainsi rappelé « la nécessité d'assurer un accès à des services énergétiques durables, en mettant tout particulièrement l'accent sur les énergies renouvelables. Le G8 continuera à soutenir des projets d'accès à l'énergie, centralisés et décentralisés, en particulier les projets ayant une dimension régionale et axés sur le développement durable, ainsi que les initiatives en matière de commerce transfrontalier et de renforcement des capacités dans le domaine de l'énergie. »
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